L’Observatoire des Street-médics réalise une enquête sur les victimes de violences policières et personnes bléssées en manifestation. Pour participer à l’enquête de l’Observatoire, envoyez votre témoignage à temoignage@obs-medics.org.
Nous vous recommandons de consulter les Conseils à l’attention des personnes blessées par la police et leurs proches.
F.A.Q.
Qui peut participer à l’enquête ?
Toute personne victime de violence policière, bléssée ou médicalement affectée en manifestation.
Comment sera utilisé/traité mon témoignage ?
Votre témoignage sera intégré au travail de l’Observatoire et sera inclus, après traitement, vérification et anonymisation, au recensement des victimes des violences policières en France.
Pour traiter et vérifier votre témoignage, nous pourrons vous demander des précisions et pièces justificatives. Ces informations seront supprimées après vérification et aucune information ne sera publiée sans votre consentement préallable.
Aucune donnée que vous nous transmettrez ne pourra être utilisée à d’autres fins. Vous recevrez un email récapitulatif de votre témoignage.
Quand envoyer mon témoignage ?
Le plus tôt possible après les faits, car un témoignage est toujours plus complet et fiable lorsqu’il est retranscrit rapidement. Celà nous permettra aussi, en cas de besoin, de vous contacter pour vous demander des informations complémentaires.
Qu’est-ce que l’Observatoire ?
L’Observatoire des Street-médics (ou Observatoire National des Street-médics et Secouristes Volontaires) est une équipe de travail qui réalise depuis trois ans un rensement des victimes des violences policières secourues par les street-médics, dans le but d’apporter une visibilité aux victimes et d’informer sur la réalité et l’ampleure des violences policères dans les manifestations.
Réalisant ce préallable ce travail au sein de la « Coordination », elle a été chargée par cette dernière de continuer ce travail après sa séparation en mars 2019 sous la forme d’une équipe indépendante, devenu aujourd’hui l’Observatoire.
Durant cette période, elle a publié 38 rapports, recensant près de 2300 victimes prises en charge et 24.000 personnes décontaminées du gaz lacrymogène.